Selon l’USDA, le département sud-africain de l’agriculture a proposé un projet de réglementation sur le classement, l’emballage et l’étiquetage des huiles végétales comestibles en Chine. Le projet est publié conformément à la loi de 1990 sur les normes des produits agricoles et a été informé à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) le 27 juin que les huiles comestibles adaptées à l’emballage de vente au détail, mais n’incluent pas les huiles comestibles utilisées comme matières premières pour la production.
Les réglementations proposées définissent les exigences de qualité pour les conteneurs utilisés pour emballer les huiles végétales comestibles et fixer des normes d’étiquette pour les huiles à un seul côté et les huiles mixtes. L’USDA a noté que ces mesures sont conçues pour assurer la cohérence et la transparence des emballages et de l’étiquetage des produits de vente au détail. Plus précisément, le règlement interdit l’utilisation de mots tels que le goût rationalisé, léger, le goût et la réduction de l’emballage supplémentaires, et restreint l’utilisation d’adjectifs subjectifs tels que vrai, de haute qualité, de meilleure qualité et super qui ne peut pas être objectivement vérifié.
Les réglementations décrivent également les exigences des tests chimiques pour vérifier la composition et la qualité de diverses huiles, y compris l’huile d’arachide, l’huile de noix de coco, l’huile de maïs, l’huile d’olive, l’huile de palme, l’huile de colza, l’huile de tournesol, etc. Ces tests sont conçus pour garantir que les produits sont conformes aux normes de qualité déclarées, à protéger les droits des consommateurs et à améliorer la confiance sur le marché sud-africain des huiles végétales.
Les commentaires du public sur le projet seront ouverts jusqu’au 26 août 2025 pour fournir des commentaires et des conseils entre les parties prenantes. Les nouvelles réglementations devraient réglementer l’industrie de la vente au détail en huile végétale et peuvent avoir un impact sur les stratégies de marketing des producteurs qui reposent sur des déclarations d’étiquettes apparemment attrayantes mais non fondées.
Cette décision reflète une tendance mondiale croissante de la réglementation alimentaire plus stricte, visant à protéger les droits des consommateurs et à assurer une concurrence équitable. La mise en œuvre réussie de cette décision peut établir un précédent pour que d’autres pays de la région cherchent à s’aligner sur les normes internationales.