Récemment, le gouvernement zimbabwéen a révélé un nouveau plan pour acquérir 26% de ses capitaux propres dans ses principaux projets miniers. Cette décision vise à améliorer le contrôle et la participation du pays aux ressources minières, à promouvoir le développement durable de l’industrie minière et à en obtenir de plus grands avantages.
Pour atteindre cet objectif, le gouvernement zimbabwéen effectuera des négociations détaillées avec les investisseurs existants pour garantir que la mise en œuvre des politiques n’affecte pas négativement l’environnement d’investissement existant. Le gouvernement prépare activement les détails de la politique pertinents et promet d’être libérés en temps opportun pour augmenter la transparence et l’opérabilité de la politique.
Cependant, le programme est également confronté à de nombreux défis. De nombreux accords de projet sont conclus dans les différents cadres et ne peuvent pas être modifiés à volonté. Ils doivent être pleinement négociés avec les investisseurs pour assurer la stabilité du marché et la confiance des investisseurs. Néanmoins, si la politique est mise en œuvre en douceur, le Zimbabwe devrait atteindre une allocation de ressources plus raisonnable dans le domaine minière et favoriser davantage le développement économique.
Pour les investisseurs, la participation des capitaux propres du gouvernement peut apporter des effets négatifs tels que la dilution des actions, les changements de contrôle et les ajustements de la distribution des bénéfices. Par conséquent, les investisseurs doivent accorder une attention particulière à la dynamique des politiques pour relever les risques et les défis potentiels.